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La tau est un symbole ancien, qui a gouter au fil des jours des nombreuses et différentes esprit. Pour les chrétiens, elle est d’une capacité importante. analysons ensemble quels sont les divers sortes de crucifix, leur informations sur l’histoire et leur signification secret. Qu’est-ce que c’est la crucifix ? Probablement la plupart des personnes que nous connaissons répondraient à cette question en ajoutant qu’il s’agit du marque identitaire orthodoxe par excellence, parce qu’elle souviens messie arrivé martyrisé, qui a bazardé sa personne pour le salut de l’humanité. Cela c’est sans aucun doute véritable, si ce n’est que le empreinte identitaire de la calvaire vivait déjà avant.
La croix de Saint-André est une calvaire qui a l’apparence d’un X. Elle tient son nom de Saint-André, qui aurait été crucifié sur une tau de cette forme. Elle peut aussi être prénommée calvaire décussée, ou châle, et est très utilisée sur les portraits et les drapeaux, ou bien comme personnalité d’avertissement. La crucifix de Île-de-france ( ou tau patriarcale ) est une croix romaine avec une deuxième barre prostituée tout en haut. Elle était rangée sur les bannière des archevêques puis fut utilisée par les ducs d’Anjou, devenus ducs de Île-de-france ensuite. La barre divine donne un panonceau qui aurait été aménagé au-dessus du Christ ( « Jésus de Nazareth, roi des Juifs » ).
Retenons une tenue indispensable entre les pays de l’être et de l’Existence. Les états de l’Existence, même universelle, relèvent de la seule aura. Les états de l’être, en contrepartie , appartiennent tant au manifesté qu’au non manifesté. En effet, l’Être pur, Principe de la exhalaison, est non manifesté. L’axe dextre représente l’indéfinité des pays d’être ou d’Existence depuis les pays psychologiques ou délicats les plus abusifs jusqu’aux pays physiques ou terrestres les plus manifestes. Cette échelon d’états se répartit en trois ordres, tant au niveau du abrégé ( physique/corporel, psychique/subtil et immatériel ) que du cosmos ( , stratosphérique et parfaite ).
Le pape François remet au cœur de notre sûreté la tâche de l’être humain, soit celle de m’introduire dans la «mystique du vivre ensemble», véritable raison d’être de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens d’inscrire un prenant, dans l’écoute, le dialogue, l’accompagnement. Nous devons adopter les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins besoin de crucifix que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la réelle foi» habités de la présence de l’existence divin. Voilà le véritable sens qu’est création procurer la Croix !
La crucifix est ce qu’il y a de plus estimé : elle est présente dans tous les symboles ( nombres, lettres, étoiles, formes géométriques ), réalisations, produits, tissus, constructions et représentations. La croix fait partie des 4 symboles fondamentaux avec le cabinet, le cercle et le carré : elle établit une relation entre les 3 autres. En réalité, la crucifix et sa signification donnent journée au symbolisme le plus riche et le plus indéfini. Elle est une forme d’art commun pour tous hommes. Pourtant, la signification profonde de la crucifix s’est perdue. Or nous venons voir que la calvaire porte en elle la totalité des choses de l’esprit et de la matière.
La 1ere grande introduction du chrisme est associée à un intrigue marquant de l’histoire ouaille : la retournement de l’empereur romain Constantin. L’histoire raconte que l’empereur, né à nouveau autrefois au christianisme, aurait encaissé dans un rêve le identité du chrisme, conseillé du message « In adéquat signo vinces » ( par ce signe tu vaincras ). Après sa appointements, le chrisme devient l’un des symboles officiels des empereurs romains de traité protestant. On le retrouve sur des ustensiles d’argent, des couvre-chefs ou des boucliers. Le chrisme perdra par la suite en importance sur le continent européen de l’Ouest, bonté remplacé par le tau dans l’iconographie évangélique. Plus à l’est, il est quand même un symbole très expérimenté lors de toute la fin de l’Antiquité et jusqu’au Moyen-Âge. On croise fréquemment des chrismes sur les vitraux, les bas-reliefs ou les frontons d’édifices gothique. Le armes du Christ est aussi très présent dans toute la peinture d’inspiration fidèle.
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